En 1956, Marc et Monique Deslandes, parents de deux enfants handicapés mentaux profonds rejoignent Jacques et Yvonne Thonier, suite à un appel dans la Nouvelle République ; avec une douzaine de familles, ils créeront les « Papillons Blancs » association qui deviendra l’ADAPEI 37. Ces pionniers ont toutes les audaces pour leurs enfants pour qui aucune prise en charge n’est possible.
En 1959, mon père est veuf avec 3 enfants : il n’a comme seule solution de faire entrer en psychiatrie à l’hôpital Bretonneau, Clotilde et Luc : ils seront les premiers enfants à y résider.
Un problème insurmontable devient un combat: président de l’ADAPEI de 1964 à 1984, avec une équipe de parents et d’amis, ils n’auront de cesse de développer des réponses éducatives et médicales pour optimiser le développement de chacun. Il ne supportait pas les situations « sans solution », de voir des enfants ou des adultes rester chez leurs parents, sans apports éducatifs.
Aussi il signe l’acte d’achat de la Bellangerie à Vouvray, pour créer des moyens multiples et adaptés dans ce cadre bucolique.
Homme de combat et d’engagement, il le restera toute sa longue vie. Il nous laisse comme message de « continuer à s’engager ensemble pour construire des réponses à notre désarroi ».
En 1956, Marc et Monique Deslandes, parents de deux enfants handicapés mentaux profonds rejoignent Jacques et Yvonne Thonier, suite à un appel dans la Nouvelle République ; avec une douzaine de familles, ils créeront les « Papillons Blancs » association qui deviendra l’ADAPEI 37. Ces pionniers ont toutes les audaces pour leurs enfants pour qui aucune prise en charge n’est possible.
En 1959, mon père est veuf avec 3 enfants : il n’a comme seule solution de faire entrer en psychiatrie à l’hôpital Bretonneau, Clotilde et Luc : ils seront les premiers enfants à y résider.
Un problème insurmontable devient un combat: président de l’ADAPEI de 1964 à 1984, avec une équipe de parents et d’amis, ils n’auront de cesse de développer des réponses éducatives et médicales pour optimiser le développement de chacun. Il ne supportait pas les situations « sans solution », de voir des enfants ou des adultes rester chez leurs parents, sans apports éducatifs.
Aussi il signe l’acte d’achat de la Bellangerie à Vouvray, pour créer des moyens multiples et adaptés dans ce cadre bucolique.
Homme de combat et d’engagement, il le restera toute sa longue vie. Il nous laisse comme message de « continuer à s’engager ensemble pour construire des réponses à notre désarroi ».